Il est un Festival qui ne peut s'oublier, celui de Corbeil-Essonnes Jazz Festival CodJace, chaque visage, chaque instrument eu raison d'une pluie battante, il est un homme irlandais que l'on oubliera pas de sitôt Austin O'Brien, tant soit peu acteur, gentilhomme à ses heures, Auteur -Compositeur, Parisien de cœur, la France lui sourit un quartet au caveau de la Huchette , son métier transmis par ses pères nous fait frissonné sans impair , Dublin et les Stats nous auront offert un florilège de chansons incontournables, de Franck Sinatra à Tony Bennett, un concert d'exception fut extrêmement remarqué noyé d'un bain de foule admirable, Austin O'Brien est un de ceux que l'on aime au rappel pour couronner ce Festival, ce 3 Juillet dernier sous une pluie battante son public a dansé puis applaudit Sir Austin O'Brien,cette 17ème édition magistrale c'est fini par des dédicaces humainement signé par une majesté du Jazz, remerciement par ailleurs à Wendy Lee Taylor, Cédric Caillaud, Olivier Defays, Jean-Philippe O'Neill. qui nous ont offert un idéal formidable.
Une vie hypnotique.
Mon opinion d’auteur :
Cher parrain.
Ta biographie est une ascension bouleversante, une boulimie de pages sans aigreur.
J’use flâné te répondre tardivement, en ma qualité d’élève insolent, pour y estimer un homme de rang.
En un mot comme en cent !
Messire De Jong Alban, aurait eut grande influence au coté de Louis le Grand, à pratiquer l’hypnose à demi-pénombre, d’une France saltimbanque, en son jardin d’hiver.
Si tant est vivre à notre époque, il est agréable d’apprécier les fondamentaux de ta personnalité, en toute sérénité.
Tes investigations, te réclamant à seconder la police, la justice, dans l’intérêt d’élucider leurs faux semblants.
De-ci de-là, De Jong vit Paris, à ne point se lamenter en son sort, au souffrant d’embrouillaminis sans conduit.
De peu de durée !
Né au siècle dernier, tu es sans nul doute, maestro, acteur, hypnotiseur, chanteur, chroniqueur acéré, auteur d’une biographie annoncée.
Si je me devais d'être brigadier, au levé d’un rideau théâtral, je referai appel à l’officier, en toute légitimité.
Chers lecteurs, chères lectrices, en parcourant sa biographie, vous l’applaudirez mains nourries, à ne point l'embarrasser.
Respectueuses pensées littéraires.
Cordiales Amitiés
Philippe – Daniel Alloteau