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Philippe-Daniel Alloteau

Auteur - Ecrivain

(Editions Oceridane & Partners - Blanche Colombes)

Présente:

Recueil de chansons et de poémes

Philippe-Daniel Alloteau était en liste d'attente l'an passé avec son livre de théâtre et humour

« Quand les femmes s’emmêlent, les hommes se taisent » Editions Océridane.

 

Cette année cet auteur et metteur en scène qui nous vient d'Aire sur L'Adour dans les Landes

 Proposera son univers qui englobe les activités et productions théâtrales,

 l'édition musicale et littéraire, la production et le management d'artistes.

A travers 2 associations : Oceridane et Partners et Blanche Colombes,

 il organise des spectacles adaptés à tous les publics.

Le temps passe trop vite

30 mars 2013

Chemin des Poètes

Texte P'tit toutou, P'tit Chaton

Philippe-Daniel Alloteau Lyriques Auteur Parolier conteur

Jean-Paul Debernis

Président Mérite et Dévouement Français

https://www.youtube.com/watch?v=C0MNb8vpuCI

OPPRESSION

 

De mes yeux qui soufrent de la lumière du jour…de la douleur qui demeure sur l’éternel…la folie des hommes reste la même.

Cet archipel ne compte plus… le nombre de gens ou d’enfants tués sans rémission.

Sombre constat d’innocents qui ont fuient les combats… et l’anarchie pour se refugier dans une jungle ensanglantée.

Les armes sont dans toutes les rues… tenues par nos enfants… comme de simples jeux de paume.

A vouloir détruire des vies…les guerres de pouvoir profitent aux marchands d’armes et commerce sous table.

De vulgaires mercenaires sans scrupule… transportent de l’argent sale aux frontières du mal.

Joyaux et autres richesses… ont été volés et pillés… par des banquiers peu scrupuleux.

Univers de gris…pays affamé… dernier bastion d’hommes en liberté.

Je souhaite rétablir une paix… et y vieillir en homme libre.

Emprisonné pour des raisons politiques et militaires durant des années.

Mémorial du souvenir…  la foule chante l’élection d’un candidat libre.

Notre terre mère… matrice de tant de misère… a su rester digne.

Hommes et femmes chantent à nouveau les honneurs retrouvés.

Forçat au passé… je vais à l’église prier un évangile de l’avenir.

Je n’ai rien accepté de l’oppression… à m’avoir enfermé.

Je suis juste un messager… pleurant la perte d’amis proches assassinés.

J’ai beaucoup prié…tel un enfant privé de sa mère et de son foyer.

J’ai perdu du poids mais j’ai gardé la foi…mes forces sont restées dignes malgré le despote d’un peuple.

Mon cœur  saigne de l’amour du seigneur, je suis libre désormais.

Ma mission sera d’œuvrer pour la paix, dans le monde entier.

On m’a fait appeler… je me dois d’en être reconnaissant à ceux qui mon élu président.

Prix Nobel de la paix… on m’appelle «  Nelson Mandela ».

LE MILITANT DE BORD DE MER

 

J’aime à croire ce que j’entends.        

 ce pourquoi naturellement.

La liberté du grand large a un prix.

Ce pour ceux… ce pour celles… que la mer  à choisis.

Hommes de caractère.

Capitaines de bord de mer.

Sortez vos gilets et vos chalutiers, vos fils sont tombés à l’eau.

Naufragés de marée noire, il faut sauver vos matelots.

Presqu’île où es-tu ?

Ta beauté, tes plages… sont désormais fermées au public.

Les critiques s’indignes de grands titres…vendu dans les kiosques à journaux.

 

Refrain

Rivalité et précédent souille à nouveau le littoral.

Politique à la dérive… de l’argent sale coule à flot sur nos rivages.

J’entends déjà la presse à scandale…se saisir de l’info,  sur tous les canaux.

 

Qu’es-tu devenue ?

De grosses plaques épaisses… issues de dollars se déversent sur des rochers englouties de misères noires.

La mer est souillée, le pétrole est né.

Oiseaux et mammifères engloutis tendent de s’échapper par des saltos empoisonnés.

Société… des hommes doivent  répondre de leurs méfaits.

Mer démontée, des pêcheurs rentrent fatigués des ces journées à enlever leurs filets mazoutés.

Poissons au carbure sont devenu des scélérats de mer indigne à consommer.

A ceux et celles qui vous conspirent, je me donne l’envie d’écrire.

De laisser mes mémoires… mes récits… que le monde pourra lire.

J’aime à croire ce que je défends, ce pour ceux et celles meurtri violement.

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Sollicité par un journaliste –traducteur répondant au nom de Vladimir Sergueev.

Sa pièce saura traduite en russe, à la grande satisfaction de l’auteur.

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